Dans ce jardin, une oasis verte permet de vivre au grand soleil, une autre de se relaxer à l’ombre.
Chez Rosie Daykin, les invités quittent volontiers la maison pour envahir une terrasse ensoleillée, dîner au son d’une cascade ou se retirer dans une paisible cédrière luxuriante.
Quand ils ont rénové cette résidence abandonnée, située sur un terrain à deux niveaux du secteur ouest de Vancouver, Rosie et Paul, son mari, souhaitaient justement abolir les frontières entre l’intérieur et l’extérieur.
Designer d’intérieur aujourd’hui propriétaire d’une excellente pâtisserie, Rosie a tout de suite imaginé la cour avant desséchée de 50 x 40 pi comme le prolongement de la salle à manger et du séjour.
Mais ce n’est qu’au moment des rénovations qu’elle a pu évaluer tout le potentiel de l’arrière-cour de 80 x 60 pi, alors couverte de ronces. «Toutes les chambres donnent sur cet espace, explique-t-elle. L’enjeu, ici, c’était la vue.» Comme la maison suit une pente, le rez-de-chaussée s’ouvre maintenant sur une cour avant ensoleillée, et l’étage inférieur, sur un abondant jardin ombragé.
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